Mon maître de Zen vit presque comme un ermite dans son petit temple près d’Arashiyama, Kyoto.
Il enlève les mauvaises herbes et coupe du bois, comme s’il ignorait l’agitation provenant de la ville ; il bénéficie de la sécurité et de la paix.
Il se moque, en disant, devant une telle calamité, qu’autrefois un moine de grande capacité aurait beaucoup prié pour se calmer.
Maintenant, personne n’ose, car leur incompétence s’est révélée.

Acerbe, mais cela m’a fait rire intérieurement.
Lui, il a de l’asthme depuis l’enfance. C’est pourquoi il cherche comment améliorer sa santé par son propre pouvoir de guérison.
Il m’enseigne : «  Le Yin que le Yang, Le Zen que le Yin, Les Entrailles que le Zen. « 

Les Entrailles ??? Vous pouvez les remplacer par le corps.
Même si vous n’aimez pas le piment, mais si vous le mangez, vous recevez une certaine valeur nutritive quand même.

Pour avoir une bonne santé, mangez bien, dormez bien et bougez. C’est le plus important que le Zen (trop compliqué à savoir ! ) et le Yin (c’est trop difficile à faire ! ).

Donc, il arrive à mettre sa confiance d’abord en son corps, plutôt que dans le dogme du Bouddhisme.

Sacré maître que j’ai !!